Je vais vous raconter ma vie.
Des hommes commandés par un faux policier ont dévalisé la pâtisserie.
Elle sait parler aux animaux
Je vois un papillon voler derrière la vitre.
Il voulait toujours tout garder pour lui.
Pourquoi parler de cela ?
Il a du mal à vous parler.
Dans un quatre ans je serai majeur.
Je veux entendre les mouches voler.
Les personnes dessinées au crayon étaient très reconnaissables.
Le directeur de la prison enfermé depuis le matin a enfin été libéré.
Le vieil homme désolé me tendait un gros livre.
Je parlerai si vous promettez de ne pas me frapper.
Chaque fois que j'entrais, un vieil homme me demandait : «D'où venez-vous ?»
Je vais vous aider à réparer ce pneu crevé
Il a acheté de la viande surgelée.
Nous avons préféré acheter une autre machine à laver.
Si bavarder donnait des boutons, peu de gens auraient une belle peau.
Lorsqu'il me le demanda, j'acceptai aussitôt de l'accompagner.
Il ne fallait pas me traiter de malpoli.
Elle est allée travailler à l'étranger.
Il fallait marcher trop vite, elle a préféré abandonner.
Il sait parler anglais, mais aussi grimper aux arbres.
Ils vous ont parlé, mais vous n'avez pas voulu les écouter.
2. Dictée
Autrefois, pour préparer la pâte brisée, on pesait d'abord la farine. Ensuite, il fallait peser la moitié de ce poids de beurre, et le couper en petits morceaux. Après avoir rajouté un peu de sel, tu mélangeais le beurre et la farine, du bout des doigts. Quand tu les sentais mélangés au point de ressembler à du sable, tu rajoutais seulement un peu d'eau froide. Il suffisait de travailler quelques secondes, et c'était prêt. Aujourd'hui, on ne fait plus trop de pâte brisée, on préfère l'acheter.
Voici un autre texte niveau 3ème, qui inclut des subjonctifs imparfaits.
Lorsque Daphnis revit sa Chloé, après un long et cruel hiver qui les
avoit séparés, la première fois sa vue se troubla, ses genoux se dérobèrent sous
lui ; il chancela, il alloit tomber, si Chloé ne lui avoit tendu les
bras pour le soutenir. Mon amie, si par quelque enchantement je vous
retrouvois tout à coup à côté de moi, il y a des moments oû j’en pourrois
mourir de joye. Il est sûr que je ne connois ni bienséance ni respect
qui pussent m’arrêter. Je me précipiterois sur vous, je vous embrasserois
de toute ma force, et je demeurerois le visage attaché sur le vôtre,
jusqu’à ce que le battement fût revenu à mon coeur, et que j’eusse
recouvré la force de m’éloigner pour vous regarder. Je vous regarderois
longtems avant que de pouvoir vous parler. Je ne sçais quand je retrouverois
la voix et quand je prendrois une de vos mains et que je la pourrois
porter à ma bouche, à mes yeux, à mon coeur. J’éprouve, à vous entretenir
de ce moment et à l’imaginer, un frissonnement dans toutes les parties
de mon corps, et presque la défaillance. Ah! chère amie, combien je
vous aime, et combien vous le verrez, lorsque nous serons rendus l’un
à l’autre!
Diderot, Lettres à Sophie Volland, xxxvi (1760)
Voici la transcription de ce passage en français du XXème siècle :